BJM Canada présente
LA DÉLÉGATION CANADIENNE DU BJM 29
D’origine de Hong Kong, Henry est né et a grandi à Montréal, Québec. Il a étudié l’architecture à l’Université McGill où il a complété des diplômes de B.Sc.Arch et M.Arch. En 2002, titulaire de la Bourse Monbukagakusho du gouvernement japonais, il s’est rendu au Japon pour poursuivre ses études doctorales à l’Université de Tokyo. Après la graduation, il a exercé à titre d’architecte au sein de la firme japonaise Nihon Sekkei travaillant sur des projets d’aide publique au développement (APD) en collaboration avec l’Agence de coopération internationale du Japon (JICA), notamment le campus de la santé de l’Université d’Indonésie et la reconstruction après le séisme de 2011 du Tohoku avec l’Habitat pour l’humanité. Il a aussi servi comme administrateur de l’ONG, Architectes de l’urgence et de la coopération.
En tant que professeur, Henry a été invité comme conférencier et critique de design à l’université Nihon, l’université Hanyang, le collège Dawson, l’université Concordia, l’université McGill, TED, ainsi qu’aux Nations unies (UNEP). En 2015, il a reçu le prix de l’éducateur de l’année décerné par l’Association nationale des collèges de carrières du Canada pour souligner sa capacité à inspirer ses étudiants et à éveiller leur passion de changer le monde dans lequel nous vivons. En dehors du travail, Henry aime voyager et étudier les langues; il parle couramment le français, l’anglais, le chinois, le japonais et le coréen.
Après l'obtention de son diplôme, il a accepté un travail à l’ECC Japan comme enseignant d'anglais, et il s’est vu décerné le titre de meilleur professeur lors de sa deuxième année. Il a aussi enseigné à l’école secondaire Chihaya et donné des cours à l'université de Yokohama. Par ailleurs, il a occupé divers postes dans des entreprises de la région de Kanto. Après son retour au Canada, il a travaillé dans la vente de fonds communs de placement pour l’une des plus grandes firmes du pays.
La Famille Kobayashi a joué un rôle primordial dans l'établissement du centre culturel canado-japonais. La devise du centre, « L’amitié par la culture », correspond aux croyances personnelles de Kevin et elle est devenue un mantra dans sa vie quotidienne. Kevin croit au droit à un traitement équitable pour chaque citoyen canadien, particulièrement dans le domaine des droits humains et de l'égalité des sexes. En mettant l’accent sur la compréhension, la coopération et la communication à l’échelle mondiale, il espère contribuer à mettre un terme un jour aux idées fausses et aux conflits au niveau international.
Pendant son temps libre, Kevin mène un style de vie actif et il participe à des compétitions équestres nationales au Canada. Il aime cuisiner, lire et voyager, et il est constamment à la recherche d’aventure et de nouvelles expériences.
Suite à sa graduation, David s'est rendu en Afrique du sud pour un stage de bénévolat de six mois avec l’organisation ArrêtonsLeSIDA dans le cadre du Programme de stages internationaux pour les jeunes (PSIJ) des Affaires mondiales Canada. Fonctionnant en tant que coordonnateur de l'engagement des jeunes, il a travaillé pour améliorer la connaissance du SIDA, le leadership et les compétences de vie des jeunes dans sa communauté sud-africaine, dans un effort pour améliorer la santé et les résultats socio-économiques globaux. De son temps à l'étranger, David a été inspiré à concevoir et à développer son propre programme pour les jeunes au Canada. Intitulé IDEYA (Développement interdisciplinaire élaboré par des jeunes activistes), le programme de David servira de plateforme aux jeunes pour explorer différentes voies d'engagement avec les différents enjeux sociaux dans leurs communautés locales et mondiales. David espère qu'avec l'aide d'amis et de la famille, il pourra transformer son IDEYA en réalité en 2017 et aider à engendrer une génération de jeunes Canadiens compatissants, motivés et engagés.
Dans son temps libre, vous trouverez David jouant au football, traînant avec des amis et la famille, ou regarder son équipe sportif bien-aimée de Toronto. Il est toujours très énergique avec un sourire sur son visage.
Son désir de travailler avec les communautés lui a permis de participer au “Zambia Global Leadership Program” dirigé par le Collège Douglas. Au cours de l'été dernier, elle a travaillé dans une clinique gouvernementale avec le bureau de la violence basée sur le genre ainsi qu’avec la clinique conseil de dépistage du VIH. Cette expérience a réaffirmé son rêve de travailler avec les groupes minoritaires. Elle termine actuellement son cursus pour obtenir son diplôme d'infirmière en psychiatrie. En plus d’être bénévole à l'hôpital Eagle Ridge et de travailler à temps plein, elle agit à titre de mentor avec une personne de 15 ans. Pendant ses temps libre, elle aime faire des randonnées avec son chien et cuisiner pour sa famille et ses amis (es).
Tefa est une personne positive et elle croit aux rêves les plus fous. Elle est persuadée que le meilleur est toujours à venir et elle essaie de changer le monde peu à peu. Elle est fermement convaincue qu'avec la bonne attitude, tout peut être réalisé.
Ayant comme objectif de mettre en évidence le rôle clé des populations rurales dans la lutte aux changements climatiques, et en particulier celui des femmes, Gabrielle a contribué à la diffusion de l’information et au transfert de connaissances en publiant un chapitre de livre sur les stratégies d'adaptation aux changements climatiques en lien avec les pratiques d’agriculture à petite échelle dans les communautés rurales du Sénégal. De plus, elle a organisé une exposition photographique sur le développement durable et l’autonomisation des femmes dans les communautés rurales du Vietnam et du Burkina Faso, en lien avec des projets d’Oxfam dans ces pays. À ce jour, plus de 50 000 personnes ont été sensibilisées grâce à cette exposition dans les différentes régions du Québec, au Canada. Engagée pour la cause environnementale, Gabrielle est également bénévole pour la Fondation David Suzuki, le Forum social mondial et précédemment pour Amnistie internationale, afin de renforcer la participation citoyenne au développement durable.
Passionnée de culture, Gabrielle a voyagé dans plus de 40 pays en Asie du sud-est, en Amérique centrale, au Maghreb, en Afrique sub-saharienne, en Europe et en Amérique du nord. Gabrielle aime le yoga, la plongée sous-marine et la photographie. Elle parle français et anglais.
Lors de son parcours universitaire, Jennifer a eu la chance de travailler et voyager partout dans le monde, notamment au Japon, en Turquie, et au Kenya. Chez elle, elle continue à faire du bénévolat avec les étudiantes internationaux et les nouveaux arrivants à ÎPE. Une de ses forces est de connecter les gens avec leurs intérêts, que ce soit des équipes de sport locales, des opportunités internationales ou d’autres personnes. Elle parle anglais, français, japonais et des mots en turc et elle aime apprendre des nouveaux mots et langages. Elle a toujours été fascinée d’apprendre comment l’environnement peut affecter la personnalité, particulière au Canada où il y a beaucoup de gens avec des expériences diverses. Un jour, elle aimerait combiner ses passions pour l’agriculture, l’éducation et le voyage.
A l'âge de seize ans Killaq est récipiendaire d’une bourse qui la permet de fréquenter le Collège Lester B. Pearson du Pacifique à Metchosin en Colombie Britannique. L’école est parmi d’une quinzaine écoles internationales qui font partie du mouvement United World Colleges, une organisation qui souligne l’importance de l’éducation comme outil pour la création de la paix et de la durabilité. A cette école, Killaq a vécu avec des étudiants provenant de plus de quatre-vingt pays. Ceci la permit de mieux apprendre au sujet d’une multitude de cultures et aussi de renseigner les autres étudiants quant aux traditions des Inuits. C’est à Lester B. Pearson que Killaq développe plus profondément son intérêt vis-à-vis le leadership au niveau global.
Après l’Université, Killaq espère voyager afin de pouvoir écrire au sujet des manières dont les personnes autochtones dans le monde entier ont survécu et ont grandi après la colonisation. Killaq espère aussi pouvoir mieux apprendre au sujet des pratiques durables mises en place par les communautés autochtones.
Matika a étudié à l'Université d'Ottawa et à gradué avec un baccalauréat en science politique et histoire. A l'Université d'Ottawa Matika s'implique entre autres avec l'Association d'étudiant COOP, AIESEC,le Club Kiwanis et l'Association Chinoise.
Matika agit comme bénévole actif au sein de la communauté. En 2015, Matika a été sélectionné pour être membre des Ottawa Global Shaper une initiative crée par le Forum Économique Mondiale et la communauté. Matika est aussi très impliqué dans la communauté coréenne où il fait du bénévolat depuis sept ans.
Matika aime étudier les langues, écouter de la musique classique, regarder des animés, rencontrer ses amis et chanter.
Judith Thurman affirme que « Chaque rêveur sait qu’il est tout à fait possible d’éprouver de la nostalgie pour un endroit où l’on n’est jamais allé, peut-être même davantage que pour un lieu familier ». Cette assertion décrit parfaitement la relation de Moussa avec le Japon. Bien qu'il n'ait jamais eu la chance de visiter le pays, il a toujours été fasciné par la culture, le mode de vie et les gens du Japon. Il est honoré d'être l'un des délégués canadiens à bord du Bateau des Jeunes du Monde et il est impatient de développer de nouvelles amitiés et de faire de nouveaux apprentissages.
Sareema a formé des poètes slameurs, elle a occupé des rôles de direction dans des publications universitaires et elle a encadré des bénévoles avec Amnesty International. Elle est profondément curieuse au sujet du monde et pose toujours des questions, particulièrement celles dérangeantes. Dans son temps libre, on la trouve en train de boire du thé, de travailler, d’écouter de la musique post-rock ou d'écrire. Ses champs d'intérêt comprennent les médias, le féminisme, les droits de l'homme et la coopération internationale. Elle a la volonté de mieux prendre conscience de son impact sur le plan social, environnemental et politique et d'apprendre à mieux interagir avec le monde qui l'entoure. Elle croit que faire entendre sa voix est une de ses plus grandes responsabilités et vous pouvez jeter un coup d’œil à ses talents d’écriture sur: gallivantingpunk.wordpress.com
Sareema est enthousiaste à l'idée de faire partie de la délégation canadienne SWY 29 et à très hâte d’entamer cette aventure.