BJM Canada présente

LA DÉLÉGATION CANADIENNE DU BJM 29

Henry Tsang
Chef de délégation
Dr. Henry Tsang est un architecte et professeur qui est un pionnier dans la recherche et l’éducation dans le domaine de l’architecture durable à l’échelle mondiale. Il enseigne dans le programme de techniques en architecture durable au collège Herzing à Montréal, et il est professeur invité au département d’architecture de l’université Keimyung en Corée du sud. Passionné des bâtiments durables, il est certifié comme professionnel LEED, membre de l’ordre des architectes du Québec, l’institut royal d’architecture du Canada, et sert commm ambassadeur du programme Living Building Challenge et conseiller d’éducation envers le Conseil du bâtiment durable du Canada. D’origine de Hong Kong, Henry est né et a grandi à Montréal, Québec. Il a étudié l’architecture à l’Université McGill où il a complété des diplômes de B.Sc.Arch et M.Arch. En 2002, titulaire de la Bourse Monbukagakusho du gouvernement japonais, il s’est rendu au Japon pour poursuivre ses études doctorales à l’Université de Tokyo. Après la graduation, il a exercé à titre d’architecte au sein de la firme japonaise Nihon Sekkei travaillant sur des projets d’aide publique au développement (APD) en collaboration avec l’Agence de coopération internationale du Japon (JICA), notamment le campus de la santé de l’Université d’Indonésie et la reconstruction après le séisme de 2011 du Tohoku avec l’Habitat pour l’humanité. Il a aussi servi comme administrateur de l’ONG, Architectes de l’urgence et de la coopération. En tant que professeur, Henry a été invité comme conférencier et critique de design à l’université Nihon, l’université Hanyang, le collège Dawson, l’université Concordia, l’université McGill, TED, ainsi qu’aux Nations unies (UNEP). En 2015, il a reçu le prix de l’éducateur de l’année décerné par l’Association nationale des collèges de carrières du Canada pour souligner sa capacité à inspirer ses étudiants et à éveiller leur passion de changer le monde dans lequel nous vivons. En dehors du travail, Henry aime voyager et étudier les langues; il parle couramment le français, l’anglais, le chinois, le japonais et le coréen.
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Stephanie Shyluk
Sous-chef de délégation
Stephanie Shyluk, est née et a été élevée dans les prairies canadiennes à Saskatoon en Saskatchewan. Elle est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en développement international (Université de la Saskatchewan, 2010) et d’un certificat en gestion des organismes à but non lucratif (Université Mount Royal, 2014).Trois expériences ont particulièrement contribué à façonner ses aspirations professionnelles : la participation au programme Katimavik, un programme jeunesse pancanadien d'apprentissage via l'engagement communautaire et le bénévolat;  le suivi d’un cours de 5 semaines en Afrique du Sud portant sur l’histoire, la politique et la société sud-africaine; et la réussite du programme de leadership Next Up axé sur les thèmes de la justice sociale et environnementale. Étudiante au premier cycle, elle a participé à trois sessions d'apprentissage par le service communautaire centrées sur la réduction de la pauvreté et l'engagement communautaire. Cette combinaison d'expériences l’a encouragée à mettre en pratique ses connaissances dans le domaine du développement communautaire. Stephanie travaille actuellement à titre d’agente de développement communautaire à la Saskatoon Open Door Society, une agence d’accueil des nouveaux arrivants et de réfugiés, où elle coordonne des programmes pour les nouveaux arrivants au Canada et supervise les nombreux bénévoles de l’organisme. Elle se sent privilégiée de pouvoir travailler pour une organisation dans laquelle sa passion pour la communauté et l'engagement interculturel continue d'enrichir à la fois sa vie personnelle et professionnelle. Dans son temps libre, elle aime le jardinage, la lecture, et partir à l'aventure avec sa partenaire et leur chien.
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Kevin Kobayashi
Sous-chef de délégation
Kevin est un Canadien d’origine japonaise de la quatrième génération, âgé de 26 ans. Né à Toronto, il a une soeur aînée, Kristin, et une grande famille étendue. Il est titulaire d’un baccalauréat en arts spécialisé de l’Université Western. Il a participé au programme d'orientation de son université en tant qu’étudiant de seconde année. Son équipe universitaire a été lauréate du “Spirit Award” pour son enthousiasme et son esprit positif, et du “Charity Award” pour avoir collecté le plus de dons pour la Fondation Terry Fox et lors de la campagne Shineram de la fondation Fibrose kystique. Kevin était aussi membre votant du Conseil étudiant de l’université. Après l'obtention de son diplôme, il a accepté un travail à l’ECC Japan comme enseignant d'anglais, et il s’est vu décerné le titre de meilleur professeur lors de sa deuxième année. Il a aussi enseigné à l’école secondaire Chihaya et donné des cours à l'université de Yokohama. Par ailleurs, il a occupé divers postes dans des entreprises de la région de Kanto. Après son retour au Canada, il a travaillé dans la vente de fonds communs de placement pour l’une des plus grandes firmes du pays. La Famille Kobayashi a joué un rôle primordial dans l'établissement du centre culturel canado-japonais. La devise du centre, « L’amitié par la culture », correspond aux croyances personnelles de Kevin et elle est devenue un mantra dans sa vie quotidienne. Kevin croit au droit à un traitement équitable pour chaque citoyen canadien, particulièrement dans le domaine des droits humains et de l'égalité des sexes. En mettant l’accent sur la compréhension, la coopération et la communication à l’échelle mondiale, il espère contribuer à mettre un terme un jour aux idées fausses et aux conflits au niveau international. Pendant son temps libre, Kevin mène un style de vie actif et il participe à des compétitions équestres nationales au Canada. Il aime cuisiner, lire et voyager, et il est constamment à la recherche d’aventure et de nouvelles expériences.
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David Lipton
Participant
David Lipton est né et a grandi à Oakville, Ontario. Tout au long de son enfance, David a eu une passion pour la citoyenneté active et le bénévolat, ainsi qu'un fort intérêt pour les affaires mondiales. Cette passion a dirigé David à fréquenter l’Université Dalhousie où il a obtenu en décembre 2015 son diplôme de B.A avec honneurs, spécialisé en études du développement international. À Dalhousie, il a fortifié sa position de guerrier de justice sociale tout en développant un intérêt particulier pour le marketing social et les représentations du développement mondial et de la pauvreté. Suite à sa graduation, David s'est rendu en Afrique du sud pour un stage de bénévolat de six mois avec l’organisation ArrêtonsLeSIDA dans le cadre du Programme de stages internationaux pour les jeunes (PSIJ) des Affaires mondiales Canada. Fonctionnant en tant que coordonnateur de l'engagement des jeunes, il a travaillé pour améliorer la connaissance du SIDA, le leadership et les compétences de vie des jeunes dans sa communauté sud-africaine, dans un effort pour améliorer la santé et les résultats socio-économiques globaux. De son temps à l'étranger, David a été inspiré à concevoir et à développer son propre programme pour les jeunes au Canada. Intitulé IDEYA (Développement interdisciplinaire élaboré par des jeunes activistes), le programme de David servira de plateforme aux jeunes pour explorer différentes voies d'engagement avec les différents enjeux sociaux dans leurs communautés locales et mondiales. David espère qu'avec l'aide d'amis et de la famille, il pourra transformer son IDEYA en réalité en 2017 et aider à engendrer une génération de jeunes Canadiens compatissants, motivés et engagés. Dans son temps libre, vous trouverez David jouant au football, traînant avec des amis et la famille, ou regarder son équipe sportif bien-aimée de Toronto. Il est toujours très énergique avec un sourire sur son visage.
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Estefania Borja
Participante
Estefania est née et a grandie à Quito, en Équateur. Il y a sept ans, elle a déménagée au Canada et depuis deux ans elle est une devenue une fière citoyenne canadienne. Estefania, ou plutôt Tefa comme ses amis (es) l’appel, est la deuxième d’une famille de cinq enfants et chaque matin, elle se lève avec un grand sourire sur son visage, reconnaissance pour sa merveilleuse famille. En raison de leur amour et de leur soutien, elle a pu suivre son rêve, qui est de se connecter avec les gens et de travailler avec eux directement. Son désir de travailler avec les communautés lui a permis de participer au “Zambia Global Leadership Program” dirigé par le Collège Douglas. Au cours de l'été dernier, elle a travaillé dans une clinique gouvernementale avec le bureau de la violence basée sur le genre ainsi qu’avec la clinique conseil de dépistage du VIH. Cette expérience a réaffirmé son rêve de travailler avec les groupes minoritaires. Elle termine actuellement son cursus pour obtenir son diplôme d'infirmière en psychiatrie. En plus d’être bénévole à l'hôpital Eagle Ridge et de travailler à temps plein, elle agit à titre de mentor avec une personne de 15 ans. Pendant ses temps libre, elle aime faire des randonnées avec son chien et cuisiner pour sa famille et ses amis (es). Tefa est une personne positive et elle croit aux rêves les plus fous. Elle est persuadée que le meilleur est toujours à venir et elle essaie de changer le monde peu à peu. Elle est fermement convaincue qu'avec la bonne attitude, tout peut être réalisé.
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Gabrielle Tremblay
Participante
Née à Montréal, Gabrielle Tremblay est titulaire d'une maîtrise en études internationales (Université de Montréal) et d’un baccalauréat en sociologie (Université du Québec à Montréal). Spécialisée en adaptation aux changements climatiques, en égalité entre les femmes et les hommes et en développement local, elle travaille depuis cinq ans en développement international au sein d’ONG internationales (Bureau international des droits des enfants, Jeunesse Canada Monde, Oxfam) au Canada, ainsi qu’au Vietnam, Sénégal, Ghana et République démocratique du Congo, à titre de coordonnatrice. Ayant comme objectif de mettre en évidence le rôle clé des populations rurales dans la lutte aux changements climatiques, et en particulier celui des femmes, Gabrielle a contribué à la diffusion de l’information et au transfert de connaissances en publiant un chapitre de livre sur les stratégies d'adaptation aux changements climatiques en lien avec les pratiques d’agriculture à petite échelle dans les communautés rurales du Sénégal. De plus, elle a organisé une exposition photographique sur le développement durable et l’autonomisation des femmes dans les communautés rurales du Vietnam et du Burkina Faso, en lien avec des projets d’Oxfam dans ces pays. À ce jour, plus de 50 000 personnes ont été sensibilisées grâce à cette exposition dans les différentes régions du Québec, au Canada. Engagée pour la cause environnementale, Gabrielle est également bénévole pour la Fondation David Suzuki, le Forum social mondial et précédemment pour Amnistie internationale, afin de renforcer la participation citoyenne au développement durable. Passionnée de culture, Gabrielle a voyagé dans plus de 40 pays en Asie du sud-est, en Amérique centrale, au Maghreb, en Afrique sub-saharienne, en Europe et en Amérique du nord. Gabrielle aime le yoga, la plongée sous-marine et la photographie. Elle parle français et anglais.
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Jennifer Whittaker
Participante
Jennifer Whittaker est née et a grandi dans la plus petite province du Canada, l’Île du Prince Édouard. Elle est en train de compléter sa maîtrise en agriculture à l’Université de Dalhousie et travaille présentement avec la Département de l’Agriculture et de la Pêche. Son travail est axé sur la gestion des éléments nutritifs dans le sol et sur la qualité et la santé du sol. Jennifer est à moitié Canadienne et à moitié Japonaise et a eue la chance de visiter et de vivre au Japon pendant certaines périodes de sa vie. Elle aime le défi et la complexité qui entourent réunir et établir des connections entre les scientifiques, fermiers et le public, particulièrement celui axé sur l’éducation des jeunes. Certains de ses projets récents incluent un programme de jardinage intergénérationnel avec la communauté et des élèves de maternelle, un programme sur l’éducation environnementale à l’extérieur, Parlons Science et des évènements Portes Ouvertes sur l’agriculture. Lors de son parcours universitaire, Jennifer a eu la chance de travailler et voyager partout dans le monde, notamment au Japon, en Turquie, et au Kenya. Chez elle, elle continue à faire du bénévolat avec les étudiantes internationaux et les nouveaux arrivants à ÎPE. Une de ses forces est de connecter les gens avec leurs intérêts, que ce soit des équipes de sport locales, des opportunités internationales ou d’autres personnes. Elle parle anglais, français, japonais et des mots en turc et elle aime apprendre des nouveaux mots et langages. Elle a toujours été fascinée d’apprendre comment l’environnement peut affecter la personnalité, particulière au Canada où il y a beaucoup de gens avec des expériences diverses. Un jour, elle aimerait combiner ses passions pour l’agriculture, l’éducation et le voyage.
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Killaq Enuaraq-Strauss
Participante
Killaq Enuaraq-Strauss est une étudiante âgée de vingt-ans présentement en étude en relations internationales, anthropologie et journalisme à l'Université de la Floride. Killaq est née à Montréal et a grandi au Nunavut dans la ville d’Iqaluit. Killaq est défenseur des droits des autochtones et des groupes marginalisés, et passe la majorité de son temps en écrivant ou en parlant de ce sujet afin d’éduquer les autres. A l'âge de seize ans Killaq est récipiendaire d’une bourse qui la permet de fréquenter le Collège Lester B. Pearson du Pacifique à Metchosin en Colombie Britannique. L’école est parmi d’une quinzaine écoles internationales qui font partie du mouvement United World Colleges, une organisation qui souligne l’importance de l’éducation comme outil pour la création de la paix et de la durabilité. A cette école, Killaq a vécu avec des étudiants provenant de plus de quatre-vingt pays. Ceci la permit de mieux apprendre au sujet d’une multitude de cultures et aussi de renseigner les autres étudiants quant aux traditions des Inuits. C’est à Lester B. Pearson que Killaq développe plus profondément son intérêt vis-à-vis le leadership au niveau global. Après l’Université, Killaq espère voyager afin de pouvoir écrire au sujet des manières dont les personnes autochtones dans le monde entier ont survécu et ont grandi après la colonisation. Killaq espère aussi pouvoir mieux apprendre au sujet des pratiques durables mises en place par les communautés autochtones.
Matika Lauzon
Participant
Matika à pour plusieurs années été passionné par les cultures et les langages du monde. Né en Roumanie et élevé au Canada, Matika a vite réalisé l'importance d'apprendre différentes cultures. Matika a grandi dans un village situé dans le Nord de l'Ontario appelé Haileybury. Au cours du secondaire Matika s'est impliqué avec plusieurs organisations et clubs, principalement, le club d'improvisation, le gouvernement étudiant et la Fédération de la Jeunesse Franco-Ontarienne. Matika a étudié à l'Université d'Ottawa et à gradué avec un baccalauréat en science politique et histoire. A l'Université d'Ottawa Matika s'implique entre autres avec l'Association d'étudiant COOP, AIESEC,le Club Kiwanis et l'Association Chinoise. Matika agit comme bénévole actif au sein de la communauté. En 2015, Matika a été sélectionné pour être membre des Ottawa Global Shaper une initiative crée par le Forum Économique Mondiale et la communauté. Matika est aussi très impliqué dans la communauté coréenne où il fait du bénévolat depuis sept ans. Matika aime étudier les langues, écouter de la musique classique, regarder des animés, rencontrer ses amis et chanter.
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Moussa Sène
Participant
Moussa Sène est un sociologue et un organisateur communautaire de 28 ans. Il vient de Montréal via Dakar et a été impliqué dans des organisations jeunesse et civiques depuis dix ans, au Canada, en Bolivie, en Colombie, au Honduras, au Mexique et au Sénégal. Selon le regard qu’on lui porte, Moussa est perçu comme sénégalais ou canadien; catholique, musulman ou athée; de peau claire ou de peau foncée; privilégié ou opprimé. De par sa propre expérience à naviguer entre différentes identités «contradictoires», Moussa s'intéresse à la façon dont les constructions sociales comme la race, le genre et la religion créent des dynamiques de pouvoir qui nous affectent en tant qu'individus et en tant que communautés. Judith Thurman affirme que « Chaque rêveur sait qu’il est tout à fait possible d’éprouver de la nostalgie pour un endroit où l’on n’est jamais allé, peut-être même davantage que pour un lieu familier ». Cette assertion décrit parfaitement la relation de Moussa avec le Japon. Bien qu'il n'ait jamais eu la chance de visiter le pays, il a toujours été fasciné par la culture, le mode de vie et les gens du Japon. Il est honoré d'être l'un des délégués canadiens à bord du Bateau des Jeunes du Monde et il est impatient de développer de nouvelles amitiés et de faire de nouveaux apprentissages.
Ryme Lahcene
Participante
Ryme Lahcene trouve que rien ne l'aide à mieux dépasser ses propres limites que d’être confrontée à l'inconnu. Elle adore découvrir de nouvelles contrées, de nouvelles coutumes, d’autres points de vue, et aller à la rencontre de personnes issues de différents milieux. Elle croit que ses racines nomades expliquent sa soif d’aventure. En effet, Ryme a été élevée au sein de trois cultures : elle a grandi en Belgique dans une famille berbère marocaine, et à l'âge de dix ans, elle a déménagé au Canada, où elle a vécu dans pas moins de cinq provinces et sept villes différentes. Elle est convaincue que son amour insatiable pour la justice sociale et le changement proviennent de tous ces endroits découverts, des gens rencontrés et des expériences vécues. Elle est passionnée par les enjeux d’aujourd’hui : le développement durable, la discrimination contre les minorités, les droits des Autochtones et le féminisme. En tant que bénévole, Ryme a participé à divers projets. Elle était membre du comité d’intégration des nouveaux immigrants de son école pendant de nombreuses années et bénévole auprès de l’organisation Atira Women’s Resource Society. En outre, elle a participé à un Échange de Femmes avec CWY, dans le cadre duquel elle a travaillé pour un organisme environnemental consacré à la protection des tortues et des terres humides en Ontario, et en tant qu'aide-enseignante pour enfants ayant des déficiences physiques et mentales en Tanzanie. Par ailleurs, Ryme accorde une grande importance à la créativité et elle essaye d'incorporer l'art dans tout aspect de sa vie. Elle est aussi une grande adepte d'impro et elle a même représenté la Colombie-Britannique à titre de capitaine d'équipe aux Jeux de la Francophonie Canadienne en 2014. Elle anime maintenant des camps de leadership et des ateliers d'impro pour la jeunesse francophone partout en C.-B.
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Sareema Husain
Participante
Sareema Husain est une jeune de 19 ans de Richmond Hill, en Ontario. Ses parents ont immigré du Pakistan en 1990 et elle est une Canadienne de première génération. Elle est une conteuse née et dans son temps libre, elle aime expérimenter différents outils multimédias pour aider à transmettre des messages. Elle est attirée par le mode de vie nomade, car il y a peu de choses dont elle jouit autant que de s'immerger dans des cultures étrangères et d'établir des liens significatifs avec des personnes qu'elle ne rencontrerait nécessairement pas dans sa vie quotidienne. Sareema a formé des poètes slameurs, elle a occupé des rôles de direction dans des publications universitaires et elle a encadré des bénévoles avec Amnesty International. Elle est profondément curieuse au sujet du monde et pose toujours des questions, particulièrement celles dérangeantes. Dans son temps libre, on la trouve en train de boire du thé, de travailler, d’écouter de la musique post-rock ou d'écrire. Ses champs d'intérêt comprennent les médias, le féminisme, les droits de l'homme et la coopération internationale. Elle a la volonté de mieux prendre conscience de son impact sur le plan social, environnemental et politique et d'apprendre à mieux interagir avec le monde qui l'entoure. Elle croit que faire entendre sa voix est une de ses plus grandes responsabilités et vous pouvez jeter un coup d’œil à ses talents d’écriture sur: gallivantingpunk.wordpress.com Sareema est enthousiaste à l'idée de faire partie de la délégation canadienne SWY 29 et à très hâte d’entamer cette aventure.
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